Qui peut embarquer ?

  • Jeunes, adolescents et adultes, valides ou porteurs d’un handicap : tout le monde a sa place à bord de ce trois-mâts d’exception.
  • Capacité : 100 stagiaires à la journée / 30 pour les transits avec nuit(s) en mer.
  • Organisations : associations, élèves de collège et lycée, grandes écoles, etc.
  • Aucune expérience de la mer demandée.

Que se passe-t-il à bord ?

  • Un équipage composé de six à huit marins professionnels et d’un ou deux bénévoles de l’association accompagnent et assurent la sécurité des stagiaires qui embarquent à bord.
  • Les stagiaires sont invités à participer aux manœuvres sur le pont, à la vie du bord, à l’organisation par quart, à tenir la barre, tracer la route sur la carte, etc.
  • Des interventions thématiques en mer (histoire, météorologie, éléments marins...) peuvent être dispensées à bord.

Comment embarquer sur le Français ?

  • Contacter le secrétaire général de l’association : Patrice l’Hour, contact@asso-gve.fr
  • Une participation financière est demandée afin de couvrir les frais de fonctionnement du navire et le salaire des marins. L’association peut compléter en fonction de ses moyens.
  • Les sorties s’effectuent par groupes constitués (inscription si possible quelques mois à l’avance). Des embarquements sont possibles, en dernière minute, pour les individuels, lors d’un transit entre deux ports.

Le Français

Où navigue-t-on ?

Le Français croise toute l’année le long des côtes de la Manche et d’Atlantique. De Dieppe à la Rochelle, le trois-mâts est porté vers les grands événements maritimes de l’année. On peut embarquer au départ d’un port français des façades Manche et Atlantique pour des navigations à la journée avec départ et retour à ce même port en fin de journée. Mais on peut aussi naviguer pendants plusieurs jours, lors d’un transit entre deux ports, avec nuit(s) à bord.

Ce qu’il faut emporter en mer

Larges ponts et grande salle commune à l’intérieur. Pas d’effet de cloisonnement à bord. On y circule librement et en toute sécurité (prévoir des chaussures adaptées qui ne glissent pas). On peut venir avec ses vêtements de tous les jours et idéalement avec une veste d’extérieur. En cas de mauvais temps, des vestes étanches sont mises à disposition à bord. S’habiller chaudement, sans oublier sa casquette, son bonnet et ses lunettes de soleil pour profiter au maximum de l’extérieur.

Peut-on avoir le mal de mer à bord du Français ?

La taille et le poids du navire limitent ses mouvements. Le Français est confortable à la mer. Pour les sorties au large et par temps agité ou lors des transits, on peut avoir besoin d’une adaptation de quelques heures. Des espaces de repos sont prévus. Les conseils des marins expérimentés du bord sont toujours précieux. Ce temps d’adaptation est un moment fort de cohésion et de solidarité à bord.

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Une association destinée à offrir aux jeunes une école de la vie grâce aux valeurs associées à la voile.

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